mardi 24 septembre 2013

Reprise de modules et chantier chez le charbonnier

Le travail se poursuit sur les modules des collines, suite à la journée des associations. Du fond de décor à reprendre, en passant par l'amélioration des falaises ou des murs et le câblage des cantons, ce n'est pas encore tout de suite que nous ferrons rouler le matériel!.


Gros chantier également chez le charbonnier, ou de la décoration de détail doit également être (re)faite pour s'assurer d'une parfaite apparence une fois tout installé.

Au charbon chez le charbonnier!
Pourquoi avoir posé cette question? 
Je me le demande encore! Je trouvais que la limite entre la zone des voies et la cour du charbonnier n'était pas logique : pas de barrière, pas de mur de séparation. C'est dangereux non?. Je pose donc la question à mes petits camarades! "Qu'est ce que je fais?" 
Et là, voilà que tout un tas de remarques sont formulées : "Si, si c'est bien comme ça. Un wagon de charbon peut directement décharger dans la cour!", "Oui, mais le ballast n'est pas bien posé!", "et puis la trémie n'est plus à sa place!", "et les bâtiments sont trop gros!", "Non il faudrait revoir tout ça!".
Bref, on démonte tout et on recommence!

Après démontage du pont, reprise de la limite de ballast de la voie.
C'est vrai qu'il y avait des trous !

Pour le déchargement, le wagon trémie doit se trouver sur la voie la plus proche, mais attention à la prise en écharpe!
On simule les positions avec ce qu'on a sous la main, et on matérialise la limite de stationnement avec un morceau de plasticarte

Pour faire une séparation afin que le charbon n'atteigne pas le pied du signal, on monte un nouveau "mur de traverses".
Mais celles tirées des vieux restes de rail ne conviennent pas : elles ont des trous!
Alors on en fabrique des "neuves - vielles"!
Un coup de marteau sur la lame d'un tournevis simule l'endroit ou repose la semelle du rail

Montage de la cloison de traverses : pas toute à la même hauteur!
Suite la semaine prochaine !

Végétation sur les falaises
Pour rendre les falaise plus "vivantes", nous faisons pousser des touffes de végétation sur les replats et surfaces "sub-horizontales" pour donner du relief.
On repère les zones propices à la pousse de touffes d'herbe folles

Celle-ci sont créées à partir de moitié de touffes prêtes à poser
Un peu de poudre de perlinpipin pour étoffer l'aspect et la texture minéral de certains points 

Et voila le travail! C'est mieux!
Patine des murs de soutènement
Pour mémoire, les murs de soutènement ont été fait à partir de moulage d'une forme initiale avec de la colle cellulosique. Ca rend bien, mais c'est un peu transparent!
Donc, on repeint et on patine!

Deux couches de peinture sont passées :
une première gris beige pour surfacer les moellons, et une seconde, plus claire que l'on essuie juste avant le séchage, pour ne laisser apparents que les joints.

On complète par quelques coulures brunes et ocres en terre à décors, simulant des ruissellements de surface.
Il faut y aller plutôt léger!

Traitement à la terre à décor noire pour les traces de fumée sur cette entrée de tunnel.
A peine suffisamment noire et dense!
 Les artistes au travail




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